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Il y’a quelques mois, le showroom Alpha International Tunisie aux Berges du Lac regroupait trois marques automobiles dans un seul et même emplacement. Aujourd’hui, l’exposition s’élargit avec un tout nouveau showroom à présent consacré à Jaguar et Land Rover. Découvrez avec nous ce nouvel espace qui donne rendez-vous aux passionnés des deux marques pour découvrir les nouvelles venues en Tunisie — parfois dans des configurations surprenantes.

Le nouveau showroom est situé non-loin de l’entrée des Berges du Lac de façon aisément accessible et reconnaissable de loin. Les visiteurs ont accès à une zone de stationnement à l’arrière ainsi qu’un parking pour les véhicules de démonstration. Quatre bornes de recharge-électrique ont aussi été installées afin de préparer l’arrivée future du SUV 100% électrique de la marque au félin – le I-Pace. L’intérieur a été aménagé de façon symétrique avec 16 baies d’exposition et un côté dédié à chacune des marques premium du groupe : Land Rover à droite et Jaguar à gauche. L’atmosphère représente parfaitement l’esprit des deux marques avec un design moderne et une ambiance sobrement luxueuse. Il est important de noter que ce showroom est conforme à la nouvelle norme mondiale Jaguar / Land Rover suivant le modèle ‘’ARCH Concept’’ et une salle d’exposition de 1600m².

Parmi les modèles exposés, nous avons pu admirer un F-Pace en couleur bleue ‘Portofino Blue’ et un intérieur bleu et blanc à couper le souffle, ainsi qu’un E-Pace en couleur rouge ‘Firenze Red’ qui lui donne beaucoup de charme. Cependant, le modèle qui nous a le plus marqué se trouve du côté Land Rover ; le tout nouveau Defender. Trois déclinaisons étaient exposées devant trois SUV Range Rover afin de mettre en valeur le savoir-faire de la marque en termes de confort et de luxe automobile tout en rappelant l’histoire du Defender en tant que véhicule de franchissement emblématique. Cette nouvelle version offre un parfait compromis entre standing et aventure, avec un regard charmeur à l’avant mais en gardant une forme reconnaissable et des aptitudes exceptionnelles.

Nous attendons de vous le faire découvrir plus en détails très bientôt, mais, d’ici là, nous vous invitons à le découvrir, ainsi que les autres modèles exposés, grâce aux clichés de Firas Al Rahali qui a su vous capturer l’atmosphère du nouveau showroom Jaguar / Land Rover dans toute sa splendeur. Vous pouvez aussi le visiter du Lundi au Vendredi de 8h à 17h30, où vous aurez aussi à votre disposition une réception bien aménagée ainsi que quelques lectures et des rafraichissements

Loris Bicocchi est, on peut le dire, un rescapé. En effet, ce pilote d’essai qui a contribué au développement entre autres de la Bugatti EB110, de la Veyron et de la dernière Chiron a cru y passer.

La Bugatti Veyron n’était encore en 2003 qu’une voiture en développement, c’est-à-dire un support pour le moteur et la boite à vitesse. Ces deux composantes, très complexes pour l’époque, furent d’ailleurs la principale cause du report à trois reprises du lancement officiel de la voiture. (2003 puis 2004 puis 2005). Le W18 (3 blocs de 6 cylindres), prévu initialement fut abandonné car, seuls 555 chevaux  purent être extraits de ce dernier.

Un an plus tard, le W16 (deux blocs de VR8 ouverts chacun à 15° et assemblés sur le même vilebrequin selon un angle de 87°) fit son apparition mais tarda à montrer sa réelle capacité, puisque les premiers tests sur banc, ne lui donnèrent que 630 chevaux. La boite à vitesses, DSG à 7 rapports, représenta elle aussi un casse-tête pour les ingénieurs.

Finalement elle fut prête.

Quelque temps après la sortie désastreuse de la voiture devant les journalistes à Laguna Seca, rendez-vous est donc pris en 2003 avec les ingénieurs de Bugatti, sur le circuit de Nardò, afin de tester les différentes parties mécaniques de la voiture et vérifier les températures d’eau, d’huile et de boite à vitesses. Après quelques tours à vitesse modérée, l’ordre est donné à Loris Bicocchi de faire un tour pied au plancher, soit, pour une Bugatti Veyron,  à 400 Km/h

Il faut savoir que sur ce circuit, les voitures trouvent leur point d’équilibre à 240 Km/h ; au-delà, il faut braquer de plus en plus pour rester sur la bonne trajectoire. A 360 Km/h, l’accélération latérale est de 0.35 G et les pneus, du fait du transfert de charge de l’intérieur vers l’extérieur se mettent à souffrir de plus en plus.

Loris fait, comme convenu, un tour.

Le tour terminé, on demande à Loris, perplexe, d’en faire encore deux autres à pleine charge. En complétant le deuxième tour, à une vitesse de 398 Km/h, le pilote entend en une fraction de seconde, un sifflement suivi d’un bruit sourd. Le pneu avant gauche (extérieur) a littéralement explosé, causant l’arrachement de l’aile avant gauche et l’ouverture du capot sur le parebrise.  La voiture tape alors le rail de sécurité, causant l’explosion du pneu arrière gauche et la rupture des suspensions. Le casque du pilote heurte la vitre gauche, et la brise. L’augmentation subite de la pression de l’air dans l’habitacle provoque alors une lésion de son tympan.

En essayant de freiner, il se rend compte que les freins ne répondent plus, à cause probablement du choc qui a rompu les flexibles. L’instinct prend alors le dessus, il essaie de rabattre la voiture sur le rail de sécurité et l’y frotter afin de baisser la vitesse. Une fois, deux fois, trois fois. Le plus grand danger était que la voiture descende le banking (courbe relevée) et se fasse catapulter par le muret qui sépare la piste de l’intérieur de l’anneau.

L’huile sortant des flexibles, qui se sont rompus, commence à prendre feu. La fumée s’introduit à l’intérieur de l’habitacle par le biais des trous destinés à faire passer les câbles de mesure du moteur dans le cockpit.

C’est alors que Loris prend la décision de sortir de la voiture. Mais les choses se compliquent encore une fois. La porte en aluminium est coincée à cause des nombreux chocs sur le rail. A force de donner des coups de pied, il parvient à faire enfin céder la porte, et à se dégager. Puis… c’est le blackout total. En reprenant connaissance, il comprend que cet essai ne sera pas son dernier.

Après enquête, il s’avéra qu’une partie découpée dans l’aile avant en aluminium (exclusive aux voitures d’essai) afin de faire les réglages de la direction assistée, s’était déplacée sous la pression de l’air et avait lacéré le pneu. Malgré cette mésaventure, qui aurait pu lui couter la vie, Loris Bicocchi, ne cessera de faire l’éloge du comportement de cette voiture incroyable.

Pour l’anecdote, Bugatti recevra un mois après cet évènement, une facture comprenant les frais de réparation du rail de sécurité, de la part du circuit de Nardò !

Vive la marque!

Après 4 ans de restauration, nous l’avons essayé pour la première fois quelques parts à Kalaa Sghira dans la ville de Sousse. Retour vers le passé !

Peugeot 203C de 1956

Redoutable, exclusive, unique au monde et Tunisienne.

Elle ne manquera pas de se faire entendre malgré ses deux turbos, et on peut vous assurer qu’elle vous laissera le souffle coupé les quelques rares fois où vous la verrez passer sur les routes de
Sousse.

Chez Tunisian CARS, nous vous avons habitué à voir des voitures toujours plus exceptionnelles sur les routes Tunisiennes, mais la sportive que vous allez découvrir aujourd’hui défie toute concurrence.

Vous la reconnaitrez surement comme étant une Porsche 911, ADN de design oblige, mais seul un passionné saura que nous avons ici affaire à un modèle des plus exclusifs : La GT2RS. Limitée à seulement 1000 exemplaires dans le monde, cette routière aux allures de pistarde est une déclinaison encore plus bestiale de la version radicale (GT3RS) de la version extrême (GT3) de notre chère Carrera S, et il faut dire que malgré les similitudes, le niveau de performance est tout simplement phénoménal.

Notons donc que cette voiture reprend le moteur 6-cylindres à plat de la
911 Turbo S de sa génération (type 991) mais en abandonnant les 4-roues motrices pour ne garder que le système de 4-roues directrices dans une propulsion monstrueusement puissante.

En rappel, Porsche nous avait déjà habitués à des records sur le mythique circuit Allemand du Nurburgring, notamment avec l’hypercar 918 Spyder qui a fait le tour en à peine 6 minutes et 57 secondes en 2016.

Un an plus tard, la GT2RS l’a détrônée avec 10 secondes d’écart et un record de 6 minutes et 47 secondes ; le meilleur temps jamais enregistré par une voiture de série à sa sortie en 2017.

Enfin, en 2020, c’est aussi une autre version de la GT2RS – baptisée MR – qui a à nouveau gravé le nom Porsche en haut du classement avec un record de 6 minutes et 40 secondes. Nous avons donc affaire à un bolide dont l’histoire et la conception restent fidèles à l’esprit d’excellence et de compétition démontrés par la marque Allemande.

En plus de son pack ‘’Weissach,’’ notre modèle en particulier a eu le privilège d’être revue en édition limitée par Edo-Competition, une célèbre entreprise de tuning Allemande, ce qui fait d’elle un modèle unique en Tunisie et au monde pour l’instant.

Résultat : la performance passe de 700 à presque 800 chevaux et le 0 à 100km/h est pulvérisé en moins de 2.8 secondes avec seulement 8 secondes pour arriver à 200km/h et une grosse dose de courage et d’adrénaline pour atteindre sa vitesse de pointe de 340km/h. Le cocktail mêlant légèreté et aérodynamisme la rend donc méchamment brutale dans les accélérations et agressivement efficace dans les virages.

A l’extérieur, tout est en fibre de carbone exposée, incluant le capot, les ailes, le toit et l’aileron démesuré à l’arrière, et la symbiose entre la couleur de la carrosserie ‘’Nardo Grey’’ et les touches en jaune ne font qu’accentuer son allure de voiture de course.

De plus, Edo-Competition a équipé la voiture avec une ligne ’échappement en titane pourvue d’un système de ‘’Fire-Exhaust’’ qui permet un rejet de flammes jaunes et bleues lors des fortes accélérations. Les freins sont évidemment en carbonecéramique et les jantes de 21-pouces en couleur bronze sont en magnésium en vue d’économiser le maximum de poids tout en augmentant le rendement de la voiture.

A l’intérieur, comme l’on peut s’y attendre, la voiture est entièrement conçue de façon à économiser le moindre gramme et finit pour vous offrir moins pour enfin vous en donner beaucoup plus en sensations. Les sièges sont en baquets rigides entièrement faits en carbone et recouverts en alcantara, et les poignées de portes sont remplacées par une sangle en nylon comme pour tous les modèles super-sportifs de la marque comme la Boxster Spyder, la Cayman GT4 ou encore n’importe quel modèle RS de chez Porsche depuis les années 70.

A l’arrière, comme pour la GT3RS, les sièges arrière sont remplacés par une cage de protection en titane dont Edo-Competition a offert une extension vers l’avant.

Nous avons donc affaire à la 911 la plus puissante et la plus performante de sa génération, un argument qui ne se questionne surtout pas lorsqu’on se pose derrière le volant. Une routière conçue pour la piste qui demandera votre entière concentration si vous décidez d’appuyer un peu plus fort sur la pédale de droite, et nous sommes fiers de pouvoir l’accueillir et vous la présenter sur les routes Tunisiennes.

Auteur : Youssef Ouenniche

Une nuit d’été en Tunisie, dans un café où les voix résonnent sans se suivre, un homme dit à son ami :

• “Hey, t’as vu la voiture électrique qui traverse le pays ?”
• Mais arrête, où charge-t-il ?, dit son ami
• “Je ne sais pas, il doit certainement avoir une solution.”

Mais, en réalité, comment font les voitures électriques pour charger en Tunisie, et donc voyager à travers le pays ?

A l’arrivée du bateau, à La Goulette, la charge restante provient des “SuperChargers” de Tesla, uniquement réservés à cette marque. Ils permettent une recharge rapide (env. 25-45 min pour atteindre les 80%, selon les modèles) et sont idéalement situés sur les axes autoroutiers.

Désormais, la recharge devra se faire en Tunisie, avec l’infrastructure existante.

Afin de rejoindre son domicile sur l’île de Djerba, Soufiane va entreprendre un périple de plusieurs centaines de kilomètres, avec et sans autoroute, dans un véhicule de plus de 525cv et 2.6 tonnes, dont l’allure est digne d’un poster accroché aux murs de millions d’adolescents rêveurs.

Première étape : La borne installée par le Tesla Club Tunisia à l’hôtel Mövenpick Lac Tunis. 

Installée dans le parking souterrain, la borne délivre une puissance variable, entre 3 et 22 kW, au gré du chargeur embarqué qui se trouve dans chaque voiture électrique. Pour Soufiane, une courte recharge le temps d’un café avec la famille suffira à prendre la route et atteindre la deuxième destination : 

C’est cet hôtel qui fut le premier en Tunisie à installer une borne de recharge pour véhicules électriques.

Mais, les bornes Tesla chargent-elles TOUTES les voitures ? Ou juste celle de leur propre marque ?

Cette option (Select ou Open) est libre de choix pour les établissement.

A peine plus d’une heure après avoir branché sa voiture, un repas partagé en famille au restaurant de l’hôtel et il est déjà temps de reprendre la route vers la prochaine étape :

La Model X s’est parfaitement adaptée aux routes tunisiennes, malgré les innombrables nids de poules, ainsi qu’au climat. (Tesla est une marque californienne, où le climat est encore plus rude que celui de notre pays)

L’Autopilot (Si, si!) est même très à l’aise. Ce système permet au conducteur de laisser le véhicule circuler seul, sans intervention humaine, à partir de la lecture de la route et des panneaux de signalisation.

L’arrivée à l’hôtel Mövenpick de Sfax se fait après avoir traversé la ville aux tentacules et son centre bondé de cyclomoteurs et de taxis, mais sans aucun problème pour la Model X malgré son gabarit.

La recharge est également proposée par une borne Tesla, de la même puissance délivrée que celles situées à Tunis et Sousse. Cette fois, Soufiane et sa famille vont y passer la nuit avant de terminer leur voyage vers l’île des rêves. Non pas parce que la recharge nécessite un arrêt aussi long, mais c’est bien le corps qu’il va falloir charger avec une bonne nuit de sommeil !

Reposée, toute la famille reprend la route vers le sud tunisien, dans un confort quasi-présidentiel.

Djerba :

Les plages, les marchés, la bonne nourriture et un soleil qui embellit tout.

La Model X a trouvé ses repères. Elle y est comme chez elle, même avec ses 5 mètres de longs.

Elle aura traversé le pays, sans avoir émis le moindre gramme de CO2, dans un confort absolut et pour moins de 40DT d’électricité !

Il est temps de profiter des vacances et d’espérer, un jour, que la lumière de l’avenir éblouisse la Tunisie, notamment en matière de mobilité durable.

En résumé : 

Tesla Model X 100D 

Trajet : ~ 550 km 

Coûts : 0 TND (Recharges gratuites réservées aux clients des établissements)

Temps de charge par arrêt : ~ 3h

Qu’y a t-il de mieux qu’une 911 pour passer son ”afterwork” ? Eh bien, évidemment, huit 911 en versions différentes ! Imaginez huit voitures de sport aux airs familiers prêtes à défier leurs limites dans l’une des plus belles routes de Tunis, dans un convoi des plus impressionnants, de quoi bien profiter des trésors routiers de notre pays. Une véritable opportunité pour les connaisseurs d’observer l’évolution de la 911 dans ses différentes versions. Les sportives ont fait grincer les pneus sur la route serpentine de Jebal Resas pour un véritable cocktail de glissades et d’accélérations. Les Porsche’s ont bien évidemment fait preuve d’excellence en alliant efficacité et agilité. De la 911 de type 997 à l’avant dernière génération de type 991, la diversité était au rendez vous. Malgré la dominance des moteurs atmosphériques, une Turbo de type 997 a été présente et s’est démarquée grâce à sa préparation de 620 chevaux. Les virages ont représenté un véritable paradis pour les modèles équipés d’une transmission intégrale mais ont permis aux propulsions de se faire plaisir en faisant valser les roues arrières au chant des moteurs. Le ballet des 911 était un événement unique mais ne sera certainement pas le dernier, avec prochainement plus de Porschistes parmi nous !

Première édition de la Tesla Experience Tunisia : une aventure électrisante qui n’aura pas laissé indifférent, mais surtout une initiative qui continuera d’évoluer en attendant l’arrivée d’autres membres du « Tesla Club Tunisia » en Tunisie. Cette première édition nous a permis de faire un premier rassemblement communautaire ainsi que d’offrir une expérience exclusive à ceux qui ont été choisis lors du tirage au sort #TeslaExperienceTunisia à bord d’une Tesla Model S P85. L’événement était, entre-autres une opportunité de démarrer une discussion entre puristes et passionnés à propos des voitures électriques en Tunisie mais aussi de célébrer la première initiative d’installation de bornes Tesla en Tunisie : un premier pas permettant d’avoir divers points de recharge pour les voitures électriques en vue de se préparer à en accueillir d’avantage en Tunisie mais aussi de se préparer à l’électrisation des véhicules de masse à l’avenir. Lundi 10 Juin, il est 16h30, notre Tesla Model S s’est tenue au rendez-vous aux Berges du Lac 1, à Tunis, et nous avons eu le plaisir d’accueillir plusieurs membres de la communauté Tunisian CARS ainsi qu’un grand nombre de passionnés d’automobile qui, pour certains, n’ont pas hésité à faire des dizaines de kilomètres pour venir prendre part au rassemblement. Une fois la Tesla Model S garée, les dialogues n’ont pas cessé et le débat a été ouvert concernant les avantages et inconvénients de rouler en 100% électrique au quotidien, et surtout en Tunisie suivant la perspective du propriétaire. La question du jour : « Yékhi wine tchargi ? » Nous avons eu affaire à plusieurs types d’avis divergents ; des puristes qui tiennent à la survie du moteur atmosphérique, aux fans de Tesla en admiration du cocktail technologique de la voiture, en passant par les sceptiques qui ne se retenaient pas de questionner le pourquoi du comment vis-à-vis de l’utilité d’un véhicule 100% électrique. La diversité des points de vue a fait en sorte que la discussion s’étende à plus d’une heure, incluant une découverte totale de la Tesla extérieurement et intérieurement ainsi qu’une ouverture, dans un esprit de partage, aux passants curieux qui se demandaient « mais où est donc le moteur ? ». Au coup d’envoi, nous avons pris la route direction Gammarth. Il était 18h et, bien évidemment, nous avons eu droit aux embouteillages habituels du nord de Tunis. Ça n’a pas pour autant duré plus de quelques minutes et c’était une opportunité de tester le calme et l’économie d’une voiture 100% électrique dans des conditions réelles. A l’intérieur de la Tesla, l’élément le plus bruyant était une mouche prise au piège à l’intérieur de la voiture mais le couple lors des accélérations a pu compenser le manque de sonorité. Ce qui est surprenant, c’est surtout de la voir filer à haute vitesse dans un silence absolu en attendant inconsciemment le rugissement du moteur en Launch Control. Après plusieurs départ-arrêtés et une virée dans les routes dans la banlieue nord sans consommer une goutte d’essence, il était temps de conclure toutes ses sensations fortes en consommant nous-mêmes quelque chose. Un grand merci à Moustache Café de nous avoir accueillis pour un dîner très spécial autour duquel nous avons pu créer un échange et avoir l’avis des participants après une découverte qui s’est avérée fascinante. Verdict : « Franchement, l’électrique, ça pousse très fort et on s’y attend pas. Mais comme avec un Smartphone, il faut faire attention à la charge à force de trop se faire plaisir. » En attendant l’arrivée prévue d’Elon Musk en Tunisie, nous, on continue d’avancer et on vous a concocté quelques surprises pour les prochaines éditions du #TeslaExperienceTunisia, dont un Road-trip 100% électrique à travers toute la Tunisie. Tout ce qu’on peut vous dire c’est que l’avenir promet de faire beaucoup de bruit, mais en silence.